Sept heures. Ma vie commence.
Peu importe hier, broutilles et drames,
l'incendie et l'ongle cassé.
Les traces restent, bien sûr,
brique à brique elles me construisent,
mais le temps commence aujourd'hui.
Ce jour est le premier.
Comme chaque jour.
mercredi 13 février 2008
Le premier jour du reste de ta vie
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Belle façon de voir la vie et les choses....Carpe diem !!
RépondreSupprimerTu quoque, amica mea !
RépondreSupprimer(ma latiniste de soeur est priée de corriger si besoin ;-)
je vais tâcher de me souvenir des 2 derniers vers
RépondreSupprimermoi aussi !
RépondreSupprimerSe remettre en question au quotidien, ne pas être esclave de nos habitudes. Ce qui est achevé n'est plus à faire et regarder demain empêche de pleurer sur hier.
RépondreSupprimerUne poésie qui me touche vraiment.
J'aime bien ta formule, "regarder demain empêche de pleurer sur hier".
RépondreSupprimerLe tout est de garder le plus possible cet état d'esprit...