mardi 23 février 2010

Bulletin

Il semble que j'en ai fini avec les maladies infantiles genre varicelle (j'ai cru avoir les oreillons, mais je les ai ratés).

Pour bien attaquer dans un genre plus adulte, j'ai chopé une pneumonie.

Est-ce bien ça qu'on appelle le progrès ???


PS : je remercie la personne qui a laissé un message effaçable avant-hier. Sans elle, je n'aurais probablement pas pensé à venir faire un tour ici avant un bon moment.
Ce blog ressemble de plus en plus à un carnet de (mauvaise) santé, mais est encore vivant, quand même !

5 commentaires:

  1. Tit coucou d'un tit Lutin qui espère que ça va mieux...

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  2. Ah... donc tu nous as abandonnés... meuh :-(
    Ce qui est dur pour le coup c'est que tu nous préfères une culture de microbes pas jolis jolis :-( Mais je peux faire le microbe aussi si tu veux ! ;-) Allez soignes-toi bien, reposes-toi bien, et reviens-nous un jour...

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  3. Chère Zef, ne te métamorphose surtout pas en microbe !!! D'abord tu es très très bien comme tu es, et ensuite des microbes j'en ai bien assez :(

    Et pis d'abord, c'est pas moi qui les aime, c'est eux ! Et dans le genre collant...
    D'ailleurs ils ne veulent toujours pas me laisser, et pourtant on a mobilisé tous les secours possible, police, pompiers, gendarmes ;-) regroupés en force d'intervention baptisée Tavanic.
    Manque que la douane : peut-être que eux pourront les ramener à la frontière et les expulser ???

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  4. Bonsoir Fantôme, je ne t'oubliais pas j'ai eu de gros pépins. je vais repasser beaucoup plus souvent à présent. En attendant, prend bien soin de toi et surtout fais tout le nécessaire pour te rétablir... saloperie de maladie...
    Bises à toi!

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  5. Salut cher fantome inconnu... Le vieux d'"Al'indépendant" te visite régulièrement...J'en profite pour laisser pour les jeunes ce message qui parle de la mort de Jean Ferrat:

    Il manque un militant sur la planète "socialisme à visage humain", il manque un poète sur notre orange bleue, il manque une âme à la noosphère: Jean Ferrat est mort. Jean avait accompagné, encouragé, embelli de sa voix si humaine mon modeste combat. Jusqu'à aujourd'hui, je pensais que l'annonce de sa mort (que nous craignions depuis quelques temps) me troublerait comme m'avait troublé celles de Jacques, de Georges et de Léo; ce fut bien plus fort. C'est que la mort de Jean est bien plus que la mort d'un chanteur (Jean était bien plus qu'un chanteur) elle est la mort d'une partie de moi-même. Jean Ferrat était de ma famille de coeur et d'espérance, de ma conception de la vie, un être humain droit, direct, accessible,qui avait refusé les honneurs (notamment dans le show-biz et la politique) et voulu servir tout simplement, servir une cause "les yeux ouverts sur le réel", servir ses frères discrètement, servir la poésie qui est si nécessaire à la vie. Jean, "Tu aurais pu rester encore un peu" chantais-tu à un de tes amis trop tôt parti, mais toi on dit que tu ne le voulais plus. Sans doute parce que tu pensais ne plus pouvoir servir. Tu pars rejoindre Christine, je penserai à toi, à vous, à Oural qui court à vos côtés sur les landes d'Ardèche, tu serviras encore...mon camarade (et ce soir c'est un joli nom "camarade"!).

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