Mon post du 14 juillet est toujours d'actualité. Le Conseil d'Etat doit donner en décembre sa décision sur la légalité du fichier EDVIGE.
La pétition, qui a dépassé les 107 000 signatures, est toujours ouverte.
Pour ceux qui, vacances aidant (et ce n'est certainement pas par hasard !), ne se seraient pas encore fait une opinion, un clic :
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Salut mon cher fantôme. Tu fais bien de rappeler les choses... Ce qui me gave, c'est que la blogosphère se bouge sur le sujet depuis des mois, alors que les politiques et les médias ne semble se réveiller que maintenant ! Alors que le texte est passé depuis le mois de juillet ! Ça a un côté gonflant...
RépondreSupprimerLes politiques et les médias ont peut-être les moyens de prendre de plus longues vacances que le blogueur de base ;)
RépondreSupprimerNon ce hasard-là je n'y crois pas
RépondreSupprimerLe hasard c'est toujours un brin aléatoire, mais quand il est tellement systématique on finit par se forger une théorie de l'improbabilité estivale...
RépondreSupprimerDe l'inconstance de la mémoire pendant les mois d'été... Vaste sujet !
RépondreSupprimerDe l'utilisation de l'inconstance de la mémoire pendant les mois d'été... sujet plus étroit mais plus sinistre :)
RépondreSupprimerEn plan plus large, l'oubli des tracas quotidien et de la routine du boulot, c'est vital !
Ben tient, je ne connaissais pas Edvige (je n'ai pas la télé) mais sache que ça à commencer.
RépondreSupprimerDans mon ancien collège, lors de ma dernière année, ils ont installer des machines biométrique (contour de la main).
Il fallait tapper un code puis mettre sa main et attendre de se faire accepter.
C'était supposément pour arrêter les "oublis" de carte de cantine mais je pense que c'était une face d'avoir une trace de nous.
Comme quoi...
Moi non plus je n'ai pas la télé, mais Edvige est partout ;)
RépondreSupprimerAvec tous les contrôles électroniques, cartes d'abonnement et autres, nous laissons de multiples traces. En fait nous figurons dans une quantité de fichiers.
Certains des problèmes avec Edvige sont (étaient ? soyons optimistes !) le stockage de données strictement privées comme la religion, les fréquantations, etc. et aussi le fichage d'enfants à partir de 13 ans non-délinquants.
Ceci dit, si quelqu'un a la possibilité et la volonté de croiser tous les fichiers qui existent, a priori pour des motifs de commodité (dont toutes nos traces sur le net), ce serait un instrument peut-être plus redoutable encore...