lundi 11 février 2008

Là,
juste derrière les lignes froides du métro,
derrière le métal et la crasse,
les rêves et les volutes sont là.

La réalité mouvante,
la souplesse de la mer,
l'aigü du vent d'hiver,
les tourbillons de lumière.

Toute la liberté de l'esprit
délivré des entraves.
Au-delà des oeillères.
Juste là.

7 commentaires:

  1. Très jolie^^ Je suis bien d'accord, l'imagination est un cadeau...

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  2. Pour l'imagination, tu sais de quoi tu parles, Kalypso!
    Je viens de feuilleter ton blog avec délice :) Et en plus, des chmat's!

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  3. Merci d"avoir mis mon blog en lien. Je fais de même avec le tien qui est beaucoup plus original et travaillé. Amitiés

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  4. Ah, je suis entièrement d'accord avec ce poème ! Heureusement qu'il nous reste encore ça...l'imagination, la rêverie...Il faut savoir se déconnecter de la réalité, parfois, ça fait tellement de bien !

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  5. Déconnecter? C'est le mot juste, Clélia.
    Dans le métro à l'heure de pointe, avec l'aide de mon baladeur, j'essaie de me déconnecter... et parfois ça marche! et je rêve, je délire, j'imagine l'au-delà de la rame...

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  6. Ah oui, ça, la musique a le don de nous faire déconnecter...Mais les livres, je trouve que c'est encore plus flagrant ! ça m'est déjà arrivé d'être à ce point plongé dans un livre qu'on oublie où on est, qui nous entoure, et lorsqu'on ferme le livre on a l'impression d'atterrir d'un endroit magique...Ca m'impressionne à chaque fois !!

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  7. Ah, les livres! Ce n'est pas seulement la déconnexion mais le voyage intersidéral. Mais dans le métro, ils me font rater ma station ;-)

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