Mourir de fatigue, mourir de lassitude,
mais oui c'est possible !
Enfermé dans l'instant, noyé dans l'émotion,
tu sens l'accablement, les portes sont fermées.
Pourtant...
Le miracle de l'impermanence
le réduit à un point.
Fugitif, il n'est qu'une heure, un jour,
avant que le corps se repose,
que la psyché se réconforte.
Car rien ne dure,
lassitude ou extase.
Sens le temps qui glisse,
le train de douleur qui file dans la nuit,
le train de plaisir qui approche le quai.
Pris dans le désespoir,
tu sens pourtant le flux.
Ton corps n'en peut plus,
ta psyché hurle,
mais ton esprit sait bien
que tout a une fin.
dimanche 27 juillet 2008
Zen attitude
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