il l’a blessé. C’est pire.
Lui, les larmes ne l’ont pas noyé,
elles l’ont lavé. C’est mieux.
Lui, l’amour ne l’a pas consumé,
il l’a brûlé. C’est tout.
Lui, il n’est pas mort de honte,
il a regretté. C’est beaucoup.
Lui, c’est un homme
quelconque.
Lunaire, lunatique, dans la lune, rêveuse au clair de lune, fantomatique, à peine éclairée dans la nuit...
il l’a blessé. C’est pire.
Lui, les larmes ne l’ont pas noyé,
elles l’ont lavé. C’est mieux.
Lui, l’amour ne l’a pas consumé,
il l’a brûlé. C’est tout.
Lui, il n’est pas mort de honte,
il a regretté. C’est beaucoup.
Lui, c’est un homme
quelconque.
ça me fait penser aux poésies étudiées à l'école primaire
RépondreSupprimerIl y a de ça : je l'avais écrit un peu comme une comptine.
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